Là où fuit le monde en lumière
Fiévreuse, affamée et rompue, la poésie de Rose Eliceiry tente de résister à cette grande mascarade qu’est notre époque par le truchement de la beauté, du désir, de l’affection et de la violence, par ce qui fait encore de nous des êtres empreints d’humanité.
Là où fuit le monde en lumière, c’est une chute dans le vide alors que tout semble se disloquer, ne laissant sur le sol que les débris d’une fête ; c’est une adjuration à l’amour pour ne pas devenir évanescents et possiblement rejoindre ce lieu où la lumière perdure. (4e de couverture)